Une course d'orientation - Objectif atteindre les balises en ayant parcouru le moins de Kilomètres
Vision unique du sport automobile: pas de vitesse ni de GPS mais une navigation à la boussole et carte topographique.
150 équipages - 2500 kms en 8 jours en hors piste dans le désert Marocain
Une sécurité à la pointe de la technologie avec un suivi par satellite et une assistance mécanique + logistique de 360 personnes.
Des Valeurs: Solidarité - Respect - Dépassement de soi
mais aussi...
- Le Rallye Aïcha des Gazelles du Maroc est le seul Rallye Raid au monde à s’inscrire dans une démarche environnementale et citoyenne en ayant obtenu la certification norme ISO 14001:2015 en 2018.
-Eco-conduite valorisée: pour gagner il faut faire le moins de kilomètres possibles
L'association coeur de Gazelles
Reconnue d’intérêt général depuis sa création en 2001, l’association Cœur de Gazelles s’appuie sur la logistique du Rallye Aïcha des Gazelles pour mettre en œuvre des projets solidaires qui répondent aux besoins des populations locales. Grâce à une caravane médicale itinérante évoluant de village en village en parallèle de la course, plus de 8000 consultations médicales sont dispensées aux populations qui n’ont pas accès aux soins.
L’association est active toute l’année dans plusieurs domaines
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La scolarisation, avec la constructions d’une école à Tamsguidat.
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L’environnement et le développement durable, avec une éco-caravane visant à sensibiliser la population locale aux dégâts causés par les sacs en plastiques, véritable fléau national au Maroc et le remplacement systématique par des sacs réutilisables en coton. Grâce aux bouteilles en plastique récupérées sur le Rallye, l’association construit des maisons solides bénéficiant d’une excellente isolation thermique.
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La réinsertion professionnelle des femmes, avec la mise en place de cours d’alphabétisation dans le village de Tamsguidat, et l’ouverture d’un restaurant d’application à Essaouira permettant à des femmes isolées d’apprendre un métier pour générer un revenu.
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L’accès à l’eau, grâce à la construction de 22 puits à proximité des lieux de vie des nomades.